Contexte
La crise de ressources humaines joue un rôle dans l'accès limité au traitement antirétroviral dans les pays à faible revenu et intermédiaire. Cela survient surtout dans des localités où la charge de morbidité du VIH est la plus élevée et où l'accès aux Médecins formés est limité. Il serait important de savoir si la délégation des tâches des Médecins aux non-médecins aboutit à la fois à des soins de qualité élevé ainsi qu’à la sécurité des patients nécessitant un traitement antirétroviral.
Principales conclusions
? Deux essais qualité modérée démontrent qu’il n'y avait pas de différence sur le nombre de décès ou le nombre de patients perdus de vue à un an lorsque le suivi du traitement antirétroviral est assuré par les Médecins ou bien par les Infirmiers.
? Une étude de cohorte de faible qualité a montré que le nombre de décès ainsi que le nombre de patients perdus de vue sur un an est inférieur dans le groupe traité par le personnel infirmier.
? Il existe des preuves de qualité modérée d'une étude selon laquelle lorsque le traitement antirétroviral est conduit en communauté par le personnel de santé formé, viagra il n'y avait pas de différence sur le nombre de décès où des perdus de vue par rapport aux soins donnés par des Médecins.